Samedi 25 et Dimanche 26 Juin 2022 . Naître et Renaître, le moulin à vent de Fouville-Pensier vous accueillera à l'occasion de ces journées du patrimoine de pays Deux guides seront présents. Sur un vaste parking accessible depuis la route, votre véhicule sera stationné en sécurité. A la boutique du moulin vous trouverez le souvenir à votre convenance. Bonne visite en ce lieu rural, dans la plaine où les céréales se préparent pour la future récolte. Le conseil d'administration de l'ASMP.
L’Association dunoise pour la valorisation du patrimoine (ADVP) a nettoyé et repeint cinq plaques de cocher, ancêtres des bornes kilométriques. Article de l'ÉCHO RÉPUBLICAIN
Et voici les plaques rénovées remises en place,
MERCI L'ADVP !
Les membres de l’Association dunoise pour la valorisation du patrimoine (ADVP) sont devenus des rechampisseurs. Ce terme était employé pour désigner celui qui nettoyait et repeignait les plaques de cocher et il s’agissait bien souvent des cantonniers.« Témoins du passé que l’on regarde avec nostalgie ». « On est des amateurs, mais on respecte scrupuleusement les règles en usage », soulignent Gérard Charloux, Bernard Nodet et Georges Cavarroc, respectivement président, secrétaire et vice-président.
Le MOULIN ↑ DE FROUVILLE PENSIER est maintenu en état grâce à une poignée de bénévoles férus du patrimoine local rural. MOULIN_FROUVILLE_LETTRE_9_JUIN
2022 Nouvelle organisation : Pour les individuels le moulin est ouvert de Pâques à la Toussaint - départs des visites guidées à 15h30 et 17h. Pour les groupes : 10 personnes au minimum - le moulin est ouvert toute l'année sur inscription préalable à l’heure et jour de votre choix. Il convient simplement de prendre contact :
• téléphone : 06 86 84 80 19 • courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Le bulletin de réservation est à votre disposition sur le site du moulin, (après l’avoir complété, nous vous remercions de nous l’expédier suivant les indications (...)
Le hareng à Châteaudun : un sujet surprenant et au départ sans intérêt mais qui démarre au pied de la chapelle de la Boissière : un texte ancien indique qu’il y aurait eu là au moyen-âge chez les Templiers la Harengerie de Châteaudun ! « in Harenchagio Castroduni. » Harengerie ? en cherchant un peu ce ne peut être que la boutique d’un marchand de harengs. (et si vous acceptez ce trait d’humour : ce n’est pas dans le Loir qu’on les y pêchait…) Il y avait d’ailleurs à Paris une « rue de la vieille harengerie » et il semble que d’autres villes aient conservé ce nom. Un autre document des Archives Départementales d’Eure-et-Loir fait état, à Châteaudun, de la « donation du fief du harenchage en 1488 par Jean Rousselot » Une recherche historique approfondie permettrait peut-être d’en savoir davantage. Mais l’histoire des harengs ne s’arrête pas là : ... Du_confinement_aux_HARENGS.pdf
ADVP ICI NUMERO SPECAL CORONAVIRUS. Tout au long de l’Histoire, Châteaudun comme d’autres villes fut victime des différentes épidémies et pandémies qui se développèrent en Europe : limitons-nous donc à ces quelques évènements :
- Cette peste des années 500 dite «de Justinien » dont Aventin aurait délivré Châteaudun serait arrivée d’Afrique
- La seconde pandémie nommée « Peste noire » arrive en 1347. Elle aurait décimé selon les villes entre 10 et 80% des populations touchées.
- Lors de l’épidémie de 1547, évènement remarquable : Châteaudun se fit remarquer pour n’avoir qu’un seul décès !
- En 1631 sévit encore une grave épidémie. Les chanoines de la Sainte-Chapelle du château s’enferment Cloitre Saint-Roch et transfèrent le « divin service » en la chapelle Saint-Roch : « C’était un concours incroyable de peuple à la chapelle de Saint-Roch et Saint Sébastien du temps de la peste par le soulagement que les malades recevoient »
←CR de l'AG de l'association avec l'E.R. 15 FEVRIER 2020. L’Association dunoise pour la valorisation du patrimoine (ADVP) a 5 ans. « C’est jeune mais c’est aussi un âge charnière », a souligné son président, Gérard Charloux, lors de l’assemblée générale organisée, mercredi soir 12 février 2020, à la salle Saint-André, à Châteaudun. « On n’a pas fait tout ce que l’on voulait, on n’a peut-être pas suffisamment communiqué, écouté nos membres mais ne soyons pas pessimistes. Notre action n’a pas été inutile. » Gérard Charloux souhaite que l’ADVP « continue son petit bonhomme de chemin ». Elle sortira deux nouveaux numéros de son Petit journal du patrimoine de 4 pages « Il est sans prétention et plaît beaucoup », se félicite le président.
LE BENITIER DE LA MADELEINE
Dans le cadre des 500 ans de la Renaissance, les Dunois étaient heureux de participer à cette visite détaillée du portail de la chapelle du Champdé, avec mr CHARLOUX, président de l'ADVP. La chapelle du Champdé, dépendant de la paroisse st Valérien,était entourée de champs de vignes à l'époque. Il faut dire que cette chapelle a 500 ans exactement ! Puis ils ont parcouru les allées du cimetières, avec ses carrés militaires 14-18, de 1870, les aviateurs américains 1944, les carrés des Sœurs Dominicaines qu'on appelait "les dames blanches", (couvent Picpus rue du Coq) , les Sœurs de "la Charité" (de l'hôtel Dieu l’ancien hôpital place Cap de la Madeleine,il y a aussi quelques prêtres de la paroisse qui reposent dans ce cimetière. Merci à l'ADVP.
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉRO 15 < CLIC >
1870/2020 LE PETIT PATRIMOINE NUMERO SPÉCIAL < CLIC >
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉR0 13 < CLIC >
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉR0 12 < CLIC >
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉRO 11 < CLIC >
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉRO 9 COUVERTURE
LE PETIT PATRIMOINE NUMÉRO 9 MARIGNAN
Retour sur la conférence au théâtre sur les décors et objets d'art des églises de Châteaudun avec un intitulé : « une histoire en devenir ».
Elle a été présentée par Fabienne Audebrand, conservatrice des antiquités objets d'art d'Eure-et-Loir à la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). Quatre-vingts personnes ont écouté son exposé religieusement. La conférencière a effectué un inventaire des objets d'art des églises dunoises, en affirmant haut et fort : « vous avez un patrimoine religieux aussi important qu'à Chartres. » Elle s'est attachée à recenser les pièces qui méritent un intérêt et devraient être classées au patrimoine historique, comme des objets liturgiques en argent doré se trouvant dans la sacristie de l'église Saint-Valérien.
Fabienne Audebrand a, également, évoqué les objets d'art qui nécessiteraient une meilleure conservation : le bénitier de l'église de la Madeleine, le fragment d'un tombeau de la famille de Longueville, les stalles de la fin du 15 e siècle, un tableau de Jean II Restout représentant les noces de Cana, la croix reliquaire, etc. Enfin, elle s'est attardée sur un objet insolite : une petite sculpture en bois représentant l'ermite Saint-Antoine et nichée au cœur de l'église Saint-Jean-de-la-Chaîne dont les éléments de décors auraient besoin d'être restaurés.
De découverte en découverte grâce aux observations des Dunois et de nos membres nous nous sommes intéressés aux « plaques de cocher » et nous souhaitons maintenant nous engager à préserver et faire renaître les quelques plaques qui demeurent sur nos murs. Mais que sont ces « plaques de cocher » ? Ce n’est que récemment qu’on a attribué ce nom, nettement teinté de la nostalgie des diligences et de la poste aux chevaux, à ces plaques de fonte qui indiquaient le type de voie, la direction et la distance des villes ou villages voisins.
On peut y trouver aussi des indications telles que :
NAT, route nationale (après 1870) ou IMP, route Impériale. C’est une circulaire du directeur des ponts et chaussées et des mines en date du 15 avril 1835 qui les rend obligatoires « dans les intersections des routes royales et sur les murs des maisons à l’entrée et à la sortie des villes, bourgs et villages ». Il faut bien remarquer cependant qu’il s’agit là de la direction des routes et non du nom des rues. Non seulement elles devaient être en « lettres blanches sur fond bleu de ciel foncé », mais elles devaient être placées à au moins 2,5 mètres du sol donc sur des murs ou des « poteaux indicateurs » suffisamment hauts pour être bien visibles par les cochers ou postillons juchés sur leur siège. Elles devaient être « entretenues sur les fonds destinés à l’entretien des routes royales »
Le livre de l'association sur les graffitis de l'église saint-Jean est sorti: vous pouvez vous le procurer à la Librairie du Coin pour la somme très modique de 10 EUROS: à chaque page des surprises, à lire, à offrir...
2017_< CLIC >PATRIMOINE_local les restes de l'église saint aignanl.pdf