Nos prêtres : Père Sébastien Robert administrateur de saint-Aventin-en Dunois/Châteaudun – Père Tryphon ILENDA , curé de saint-Benoit-des-trois-Rivières / Cloyes-Arrou – Père Sébastien ROBERT, curé de saint-Paul-en-Val / Bonneval-Sancheville.
Dans un de ses derniers messages aux diocésains, notre évêque a écrit :
« Aussi, j’aimerais vous parler des fraternités de maison que je mentionnais dans mon dernier message en les appelant des « foyers de feu ». Nous en avions déjà proposées durant l’Avent ou le carême avant la Covid. Il s’agissait de s’organiser localement et de se retrouver en équipe à domicile pour lire ensemble les évangiles, méditer la Parole de Dieu et prier les uns pour les autres. Ces fraternités prennent des noms divers suivant les diocèses : maisonnées, fraternités, équipes, groupes de partage, etc.
Elles sont précieuses comme lieu d’échanges et de rencontre, comme lieu d’enrichissement mutuel, comme lieu de parole et de confiance, comme lieu d’intercession donnant à chaque membre la paix et la joie de s’y retrouver entre amis chrétiens.Dans nos villages ne seront-elles pas la réponse à l’isolement spirituel afin que des chrétiens se regroupent autour de la Bible ? Ce ne sera pas une organisation d’experts, mais le regroupement de chrétiens aimant Dieu et souhaitant se dire les merveilles que l’Esprit réalise. Si l’on prend le modèle de la Pentecôte, première fraternité en attente du Saint Esprit dans le partage de ce que Jésus a réalisé durant sa vie terrestre, nous pourrons les nommer « foyer de feu ». Le foyer est l’âtre autour duquel une fratrie se retrouve et le feu est le signe de la présence du Saint Esprit. Ces foyers de feu pourront accueillir jusqu’à dix ou douze personnes, pratiquantes ou non, juste désireuses de lire et de partager la parole de Dieu. Aucun chef ou leader n’est nécessaire une fois que quelques-uns, de bonne volonté, se retrouvent. À tour de rôle, on sera accueilli chez l’un ou l’autre membre du foyer de feu, idéalement tous les quinze jours. Ce serait mieux de se voir réellement mais on pourra se retrouver parfois en visioconférence pour faciliter la participation des plus éloignés. Simplicité, beauté, communion, accueil et écoute seront les maîtres mots de cette rencontre. À la fin des soirées, chacun repartira avec dans la mémoire et le cœur les membres plus souffrants pour qui prier les uns pour les autres. Un groupe WhatsApp pourrait être utile pour se donner des paroles de soutien de temps à autre. » Alors, n’hésitons pas ; lançons-nous. Bernard Mercier
Père Tryphon ILENDA BASILA, Curé de saint Benoit-des-3-Rivières.
Les familles, une bonne nouvelle Le carême s’achève, s’ouvre maintenant le temps pascal. Au fil des dimanches de Pâques, nous aurons la joie de découvrir le visage du Ressuscité. Je reviens sur le moment de partage vécu pendant le carême autour des familles, bonne nouvelle. Un support élaboré par le Diocèse de Metz. Je ne regrette pas le choix de ce support. C’est un bon instrument pour cheminer vers Pâques. Cette année, le titre, les familles, bonne nouvelle nous met à l’essentiel de nos vies, car personne ne naît d’un arbre. Chacun a une famille. Aujourd’hui, la famille est mise à la dure épreuve du temps et des changements de tout ordre. On est passé de la famille nucléaire à une multitude de modèles de familles. Un regard d’amour sans jugement permet le vivre ensemble. Les difficultés de tout genre font le lot quotidien des familles aujourd’hui. Faut-il s’en décourager, certainement pas. De l’épreuve jaillit un bien. Et Dieu écrit droit avec des lignes courbes. En dépit de peu de mobilisation, la qualité des échanges était remarquable. Ce n’est plus la quantité c’est la qualité qui compte aujourd’hui. Du petit reste surgit une multitude. Et la tradition biblique est éloquente sur cette réalité. Osons ensemble susciter cet étonnement : « voici comme ils s’aiment ». Nous aimer pour semer ensemble. JOYEUSES PÂQUES Père Tryphon ILENDA BASILA, Curé
- ci-dessous : Cloyes : Vénération des reliques de ste Thérèse de Lisieux.
Père Sébastien Robert curé de saint Paul-en-Val - Vicaire général du diocèse. COMMUNION ET CONFIRMATION 40 jours : après Pâques, Jésus s’est manifesté pendant 40 jours, jusqu’à l’Ascension, ce jour où il entre dans le monde invisible ; mais il a pris le temps de nous laisser des signes visibles de sa présence.
Premier signe : le soir de Pâques, à Emmaüs, Jésus prie et donne le Pain aux deux disciples, puis disparaît à leurs regards. Il nous montre que ce Pain consacré prolonge sa présence. C’est la Communion.
Deuxième signe : le jour de l’Ascension, Jésus promet d’envoyer l’Esprit Saint aux apôtres, puis disparaît à leurs regards. Et à la Pentecôte, il les revêt, chacun, de sa propre force. C’est la Confirmation. La foi, ce n’est pas le souvenir d’un disparu, c’est la découverte d’une présence. Par les sacrements, Jésus demeure présent parmi nous. Nous sommes heureux de les célébrer ensemble au mois de juin !
P. Sébastien Robert
- ci-dessous vénération des reliques de sainte Thérèse de Lisieux.
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CHATEAUDUN Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 02 37 45 15 19
CLOYES-ARROU Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 02 37 98 51 36
BONNEVAL Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 02 37 47 21 49
La CEF (Conférence des Évêques de France) met en place un numéro vert vous permettant d’être écouté. Une ligne d’écoute nationale pour les catholiques : personnes isolées, malades, en demandes sacramentelles, personnel soignant, membres de famille en deuil se posant des questions sur les obsèques. Une équipe d’écoutants (prêtres, diacres, religieux/ses, laïcs) accueille de 8h à 22h, 7/7 au 0 806 700 722,
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Chaque matin, les prêtres célèbrent la messe, à toutes vos intentions.
La communion de désir ou communion spirituelle « consiste dans un ardent désir de recevoir Jésus et dans un sentiment affectueux comme si on l’avait reçu » (Saint Thomas d’Aquin). On peut demander au Seigneur cette union au Christ présent dans l’hostie, par exemple avec une prière toute simple : < Puisque je ne peux pas Te recevoir dans l’hostie Seigneur, je sais que Tu peux tout et que Tu te donnes à moi autrement. Mon cœur te désire, donne-moi d’être uni à Jésus-Christ dans son Église, pour Ta plus grande Gloire et pour le Salut du monde. Amen. >